samedi 10 mars 2007

Revenue sources!


The main sources of revenue
To gain the low-cost leadership strategy the company implemented the following actions :1. Offering no commissions to travel agents (all the services are provided via internet)2. Eliminating meals during flights3. Savings in turnaround time (the key to profits is keeping planes in the air). EasyJet flies only short-haul routes and the company uses only one type of airkraft to minimise parts stock, training and maintenance costs – and to reduce downtime.4. Negociating low cost with new and existing airports5. Continuing implementation of more efficient technologies6. Obtaining profitable conditions of airbus leasing


Additional Revenue sources

From comissions

- Hotels and apartments revenues
- Car rental
- Lounges
- Easy pizza ( food)
- Airports parkings
- Easy bus
- Easy cruise
- Insurances


Oppurtunities

- More advertising from the partners
- Affiliation programs (credit cards, mobil operators)
- To create a community
- Business collaborations
- To do more partnerships
- To change the lifestyle of people
- To fidelize the customers with their services
- To create more connection like easy cinema and easy meetic.
- Easy video games
- Easy excursions
- Easy meetiq,
- Easy bet
- Easy fast food
-



Cross marketing

They create a community with their clients,
It’s a networking marketing, with the different product that they can offer.
Searching at all the opportunity that emerge on the market to provide to the community (Ex. Selling Easy Pizza in the Easy Cinema)
EASY JET




ENQUÊTE
Sommaire Tourisme
Compagnies low cost : plongée au coeur de leur business model
Les compagnies "low cost", qui représentent 24 % du trafic dans l'Union Européenne, réalisent 90 % de leurs ventes en ligne. Les e-services et la vente de prestations annexes sont au centre de leur développement. (18/04/2006)

En savoir plus
Dossier Transport aérien
Le site
Easyjet.com SkyEurope.com Ryanair.com Virgin-express.comDans un contexte général de forte progression du e-commerce, les compagnies "low cost", qui ont mis Internet au cœur de leur modèle, enregistrent des chiffres en très forte augmentation sur 2005, témoignant d'un secteur en pleine croissance. En 2002, les aéroports français enregistraient près de 5,5 millions de passagers voyageant sur des compagnies low cost, soit 5 % du trafic total selon la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC). En 2005, ce seraient près de 15,1 millions de passagers de ces compagnies qui auraient transité dans les aéroports français, sur un total de 140 millions, soit plus de 10 %. La DGAC estime également que la part des compagnies à "bas coûts" dans le trafic sur les destinations de l'UE est de 24 %, ce qui représente une croissance annuelle de 19 %.Les compagnies "low cost" s'étant, dès leurs origines, largement appuyées sur le canal de vente en ligne, il n'est pas étonnant que le profil des clients des compagnies "low cost" soit en priorité celui d'internautes avertis, comme le met en lumière la récente étude de TNS Infratest. En effet, le cabinet d'études allemand estime que le succès du modèle "low cost" se confirme tout particulièrement auprès des "Smart shoppers", qui sont de jeunes voyageurs issu d'un milieu socio-culturel et éducatif plus élevé que la moyenne, et qui consacrent beaucoup de temps à la recherche de bonnes affaires sur Internet.


Inspirées du modèle de la compagnie américaine Southwest, les compagnies à bas coûts ont rapidement opté pour du 100 % Internet afin de réduire leurs coûts de distribution. "Avec l'impression de billets et la distribution via des agences de voyage, le circuit traditionnel représentait 15 % des coûts d'une compagnie régulière. Or chez SkyEurope, tout est électronique : le paiement en ligne est immédiat, ce qui nous garantit un surbooking nul et nous permet d'enregistrer directement les commandes dans notre outil comptable", affirme Christian Mandl, directeur général de SkyEurope, une compagnie "low cost" slovaque créée en 2001 et desservant trois aéroports en France (Orly, Mulhouse, Nice), via six destinations en Europe Centrale. Pour cette compagnie, 77 % des réservations au départ de la France sont réalisées en ligne. Chez Virgin Express, qui depuis avril 2005 est placée avec la compagnie SN Brussels Airlines sous l'actionnariat de SN Brussels Airholding, 80 % des passagers en moyenne effectuent leur réservation via Internet. Un chiffre bien supérieur à celui de SN Brussels Airlines, dont 20 % des passagers auraient réservé en ligne depuis Bruxelles en 2005, selon la compagnie. Pour leur part, EasyJet et Ryanair flirtent tous deux avec les 100 % de réservations en ligne en 2005 : 97 % des vols sont réservés sur le site d'EasyJet, les 3 % restants étant vendus via le call center et aux comptoirs des aéroports ; ce taux atteint 98 % chez Ryanair. "A la différence des autres compagnies aériennes, nos clients viennent sur notre site avec l'intention d'acheter, et ne se limitent pas à la consultation des horaires", estime Peter Sherrard, directeur de la communication de Ryanair.
Activité en ligne des compagnies "Low cost"
Compagnie
Part des réservations en ligne
e-services
Offres additionnelles via des partenaires
EasyJet
97 %
• Enregistrement en ligne pour les passagers sans bagage• Modification en ligne des réservations
• Location de voiture (Europcar)• Réservation de nuitées d'hôtels (Hotelopia)• Assurance Voyage• Réservation d'accès aux salons des aéroports
Ryanair
98 %
• Modification en ligne des réservations• Enregistrement en ligne pour les passagers sans bagage • Enregistrement des bagages en ligne lors de la réservation• Réservation d'une assurance voyage
• Location de voitures (Hertz)• Réservation de nuitées d'hôtels (Cendant)• Réservation d'emplacement de parking dans les aéroports
SkyEurope
77 %
• Enregistrement en ligne• Enregistrement des bagages• Modification en ligne des réservations
• Réservation de nuitées d'hôtels (Octopustravel)• Location de voiture • Réservation de bus/navette pour les transferts• Assurance Voyage • Réservation d'accès aux salons des aéroports
Virgin Express
80 %
• Modification en ligne des réservations• Réservation d'"add-on" (espace supplémentaire pour les jambes, assurances…)
• Location de voitures (Hertz) • Réservation de nuitées d'hôtels (Expedia)
Sources : Compagnies aériennes, 2006Toujours dans cette même optique de réduction des coûts, les compagnies low cost ont été pionnières en matière de e-services, la plupart s'étant notamment lancées en "ticketless", c'est-à-dire sans billet papier, comme notamment Virgin Express. "Pour Virgin Express, la réservation est réalisée contre un paiement, et n'a pas de valeur faciale, à la différence du e-ticket correspondant aux normes IATA proposé sur le site SN Brussels Airlines", explique Bruno Drusselmans, responsable e-business. La modification des billets (pour la destination ou pour le vol) impose donc l'annulation de la vente et la création d'une nouvelle réservation, ce qui a conduit la compagnie à offrir immédiatement la possibilité à ses clients de modifier leurs réservations en ligne.
Key differences on shared concept
1 innocentive
2 Nine sigma
3 your encore

Innocentive posts to their recruited network ofscientists, yourEncore posts projects to retired corporate technical personnel, and NineSigma posts Requests for Proposals (RFPs) globally to an open network of inventors, universities, and small/medium/large companies.

Nine sigma enables clients to source innovative ideas, technologies, products, and services from outside their organizations quickly by connecting them to the best innovators and solution providers from around the world.

jeudi 8 mars 2007

Innocentive

Let's review and discuss this extremely innovative concept....Innocentive
1. What is it?
its a market place, in order to improve your business , reduce the cost,
2. Who owns it?
eli Lilly
3. What is the business model?
4. What problems does it solve? every problem or questions

Mancini what a goal!!!!!!!

Freemiuim

Freemium is used in concert with other biz models (which ones and why)?Free services is provided in the first instance.So it is important for companies going on Freemium to master costs (ex no distribution, no stocking, no offline shops,...) as a matter of fact such a model cannot be applied to clothes, furnitures and any tangible goods which must be transportated.Morever this model is best suited for online services and downloadable products (ex Skype, VIADEO, IT sofware). In these cases the company can expect a return on investment in that the product once created and published is ready for immediate download without any fee.Also this model is best suited to social, referral and professional networkings where no publicity or advertising is needed. the goal is to find business partners to enhanced the initial projects.Natacha, Fabrizio, Epiphane, Reza (Groupe 3)

Quizz 8/03

1. OTHER than core revenue sources:-sale of goods and services-advertising-subscriptionPlease list 3 additional revenue sources in e-commerce.
- Phoning
- networking
- gambling






2. If "market segments are dead", how are segments replaced? Why is it important to the digital economy?3.
if market segments are dead , you have to find and to target a new market in order to launch a new product ( cash cow) .



How can 'free' generate revenue for an online business? Please include your favorite example.


Business models are perhaps the most discussed and least understood aspect of the web. There is so much talk about how the web changes traditional business models. But there is little clear-cut evidence of exactly what this means.
In the most basic sense, a business model is the method of doing business by which a company can sustain itself -- that is, generate revenue. The business model spells-out how a company makes money by specifying where it is positioned in the value chain.
Some models are quite simple. A company produces a good or service and sells it to customers. If all goes well, the revenues from sales exceed the cost of operation and the company realizes a profit.